Définition lIA - LIT
Fait qu’une consonne finale, muette dans un mot pris isolément, se prononce quand le nom qui suit commence par une voyelle ou un h muet. [Les enfants [lε-zã-fã]]
Pamphlet à caractère généralement diffamatoire.
Figure de style fondée sur des banalités, des idées couramment admises telles que les thèmes littéraires, les proverbes… Variantes : cliché, stéréotype. [Tout a une fin. ; Nul n’est censé ignorer la loi…]
Signe typographique comportant deux lettres (ou plus) accolées. [œ, æ ]
En typographie, ligne imaginaire qui suit la partie inférieure des lettres sans jambage.
Étude des éléments constitutifs et du fonctionnement de la langue.
Texte dans lequel on s’astreint à ne pas faire figurer une ou plusieurs lettres de l’alphabet. [Le roman La Disparition de Georges Perec est entièrement écrit sans la lettre e.]
Figure de rhétorique qui consiste à dire moins pour dire plus, pour suggérer davantage. [« Va je ne te hais point ! » (Corneille) ; Vous n’avez pas tort. ; Il n’est pas laid »]
Caractère d’un texte considéré comme littéraire.
Personne qui parle ou qui écrit. Interlocuteur
Suite de mots séparés mais formant une unité de sens. [vis-à-vis de – à condition de – âme en peine – pomme de terre]. On distingue les locutions nominales, adverbiales, adjectivales, verbales, interjectives ou encore les locutions-phrases selon qu’elles peuvent être substituées à un nom, adverbe, adjectif, verbe, interjection ou phrase sans rompre l’équilibre grammatical de la phrase.
Phrase toute faite, expression figée par le temps et l’usage qui prend valeur de proverbe. [Le jeu ne vaut pas la chandelle.]
Tonalité d’une œuvre qui vise à toucher le lecteur ou spectateur par l’expression d’états d’âme et de sentiments.